Adieu, preux chahid !

« Dans un espace médiatique rare où l’on pouvait tourner en dérision ceux qui [oppriment], tuent, pillent et détruisent chaque jour au nom du pouvoir, et au gré de leurs ambitions personnelles […], je suis si triste de te laisser ainsi, dirigée par des âmes de si peu de scrupules. De celles qui ont comme boussole leur soif d’obéir, et un tableur Excel à la place du cerveau. De celles qui s’imaginent que tu leur appartiens […]. Derrière leur pseudo[-]bienveillance, leurs grands sourires, leurs coups de com’, il y a les coups de menton, les coups de matraque. Il y a ce pouvoir qui ne permet à rien de lui résister, qui écrase tout. […] Ainsi sont les personnes de pouvoir quand on ne se soumet pas, quand on refuse d’obéir à leurs injonctions absurdes. Des enfants capricieux avec des grenades offensives. […] Décrédibilisant définitivement toute idée d’indépendance d’esprit. Leur projet de société : un champ de ruines. […] C’est pourquoi jusqu’à ce jour, toutes les pestes du monde craignent le rire par-dessus tout, car celui-ci possède des vertus désinfectantes qui sont fatales aux puissants. »

Il y a un équilibre dans le testament médiatique du chahid Guillaume, qui incite à lire celui-ci in extenso.

Pharisaïque, le trou du cul d’Adèle ? Coincée du cul, la Veil ? Ni plus ni moins que feu Ilse Koch, sans doute, si les circonstances lui en fournissaient l’occasion, à moins, bien sûr, que de cette dernière les punitives propensions n’eussent été la résultante du fait d’avoir trop pris…

Marmots cuits dans le four, Meurice en abat-jour ? Fiat lux !

« Simplet, lâche et coincé…
voilà ce qu’est
[Netanyahou le premier sinistre].
Ses parties intimes
puent le [gefilte fish avarié].
Même un pet de porc a une odeur plus raffinée. […]
Et, surtout, il aime baiser des chèvres
et opprimer
[gaillardement] les minorités. […] »

Catégories : Politique / Société | Étiquettes : , , , , , | Poster un commentaire

Navigation des articles

Laisser un commentaire

Créez un site Web ou un blog gratuitement sur WordPress.com.