Archives mensuelles : février 2020

Was ist los ?

Synarchy slowly but surely revealing its oligarchic and plutocratic nature (because it has been forced to by an unpredicted twist of events ?) ? Transparent Oligarcho-plutocracy ? Corpocracy ? Timocracy ? Kleptocracy ? Kakistocracy ? Nascent (non-Aristotelian) tyranny ? Or all of the above, whether simultaneously or in successive phases ?

What kind of regime are we living in ?

duke, bishop, judge and corporate chairman (Pasolini)

 

http://www.histoireebook.com/index.php?post/2011/11/27/Mouvement-synarchique-Revolutionnaire

https://www.lecanardrépublicain.net/spip.php?article546

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Inertia…

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True democracy : the quote of the evening…

Congress’ fresh(wo)men class 2019

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Losing rhetoric…

« ἔστω δὴ ἡ ῥητορικὴ δύναμις περὶ ἕκαστον τοῦ θεωρῆσαι τὸ ἐνδεχόμενον πιθανόν. » – Aristotle

Unless they’re suicidal, politicians, who are usually confined to a linguistical repertoire devoid of irony and sarcasm (which is both laudable and tragic), should refrain from giving ammo to their opponents, B…

And unless Paul Krugman is right, they don’t seek to minimize the brutality of a totalitarian dictatorship (yeah sure, “but it’s unfair”…) by insisting on its social achievements.

Instead, they say something like this : Cuba has provided universal education and healthcare to its people. And the country has been on the forefront of international solidarity when it came to helping third-world nations in distress (for instance by sending physicians and nurses to West-Africa to fight the ebola-oubreak), earning the late Nelson Mandela’s gratitude. And it did this in spite of a decades-long US embargo whose impact should not be underestimated in the strengthening of the authoritarian nature of the regime ruling the country.

BUT it is that very authoritarianism that discredits the entire undertaking as far as we, Democrats, are concerned : authoritarianism must never be the counterpart of social progress. I therefore strongly oppose Cuba’s past authoritarianism and salute Pres. Obama’s initiative to restore diplomatic channels with Cuba in order to help it on its path towards modernity, and I am convinced Cuba will demonstrate one is possible without the other.

You’re not running for the Cuban presidency, B. Leave it to historians to untangle the simplistic black-and-white narrative…

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Ce « petit milieu » où même rebelle rime avec calque…

Qu’ils étaient doux et empreints d’une connivente clémence à l’égard du Joker du peuple, hier soir à C dans l’air (!), les Thréard* (en dépit de ça) et autres Bauer, à l’antipode d’Apolline le jour d’avant, soupesant chacune de leurs paroles, sereins, affectueux même, se pourléchant les babines, aurait-on dit, moult références historiques à l’appui, de l’agitation incandescente du rebelle du Flore, lequel, y revendiquant ses quartiers, signale ainsi qu’ils n’ont, au fond, pas grand-chose à craindre de lui : « je suis des vôtres ». Mais bien sûr, petit, du berceau à la tombe, et quoi que tu fasses, tu le sais bien… D’ailleurs, le parquet (aux ordres de Belloubet !), comme l’a affirmé le pote à Romanet, ne s’est-il empressé de l’exonérer de toute possible complicité dans ce qui, tout compte fait, pourrait bien s’avérer pour certains une aubaine (Sans ce scandale, il va de soi que nos résultats à Paris n’eussent été si désastreux. De ces derniers et de ces municipales en général, Il importe donc de ne tirer aucune conclusion nationale) ? Rien du Thréard agité et sautillant ou de ses confrères apoplectiques face aux gueux il y a quelques mois, aux vrais et non à ceux qui surfent sur leur misère…

Renonçant aux ors (pour l’heure), ledit rebelle a-t-il sacrifié sur l’autel du bien commun, comme il ne cesse de le seriner, un destin considéré acquis car inné ou, plus prosaïquement, ses convictions du moment l’ont-elles simplement guidé vers un créneau moins occupé que les autres par les monopolistes de sa caste, tous les chemins, pour ceux-là, menant à Rome in fine ? Face à cinq portes dorées dans un mystérieux manoir, il a choisi de ne pas ouvrir la première, ou plutôt de la fermer après avoir brièvement goûté à la mentalité de palais : voilà l’étendue de son sacrifice. Mais qu’une seule de ses entreprises, sa campagne en costume trois pièces dans le 93 par exemple, ne résulte pas en son couronnement tempétueux sous les flashlights, que le plateau d’argent avec lequel il est né lui fasse une seule fois défaut, qu’un seul de ses claquements de doigts reste sans suite, et le voilà marri, indigné d’une telle insulte à son rang.

Comprenez-moi bien : ce n’est pas la jalousie qui tient ma plume en ce moment. Miraculeusement sans doute, je n’en ai jamais souffert, d’une quelconque manière, et de quoi pourrais-je donc être jaloux en l’occurrence, moi qui ai, il y a belle lurette, tourné pour moi-même le dos à tout activisme politique qui se fixe comme but, sous quelque forme que ce soit, la conquête d’un pouvoir-leurre ? C’est plutôt le dégoût…

Quoique sa variante dite d’extrême-gauche m’était jusque-là inconnue, je la connais, la gauche caviar; je l’ai fréquentée… Bien que le voyant à l’œuvre jour après jour, je ne suis pas, toutefois, adepte du déterminisme social : en quoi, si tant est qu’il soit sincère, un gosse de riche ne pourrait-il s’insurger du sort fait aux pauvres ? Tout est dans l’humilité de sa démarche ! Exigence et non option, celle-ci se justifie par le fait que, si enragé ou dépité le gosse de riche soit-il, les conditions de vie et la violence administrative qui peuvent rendre la désolation ou la rage légitimes lui sont foncièrement étrangères : ces amères épreuves lui ont été épargnées; il n’en a jamais fait lui-même l’édifiante expérience. C’est pourquoi, sans l’humilité, le gosse de riche au poing levé n’est autre qu’un Ki-taek à l’envers, une ombre, un acteur-imposteur, une superposition sans cause, insignifiante. Or, voilà le portrait de Branco et de son bouquin compilateur d’infos déjà publiques agrémentées d’anecdotes scolaires. Qu’elle est aisée, la lutte !…

C’est de la tonitruante OPA agressive qui caractérise chaque posture de « cette personne », la bave aux lèvres flirtant avec le fard, de son inconséquence (Que les autres contempteurs de Ruffin – ballon d’essai que cette agit-prop-là ? – se contentent de la fin…), de son dikke nek de riche qui passe toujours entre les gouttes (Peu importe que la posture christique siée à un macho comme Pavlenski…), de son sophisme méthodique, de ses manœuvres puériles et de ses mensonges certifiés immaculés, de sa fin qui justifie ses moyens, c’est-à-dire ses tactiques de voyou huppé, de son incapacité papale à admettre la moindre erreur, la moindre faille, le moindre défaut, la moindre faute, due à l’éducation prodiguée à sa caste, de sa monstrueuse autolâtrie, de ses jérémiades narcissiques indignes, vu sa condition sociale, des passions tristes et destructrices dont elle fait étalage exclusif, de l’accueil royal et sans réserve dont elle a bénéficié derrière la deuxième porte dorée ainsi que de son absolution générale par les substituts de curé(e)s qui, au pays du maoïsme grabataire, y tiennent sermon, du temps de parole qu’elle vole à de vrais prolétaires (Priscillia Ludosky, par exemple), souvent suspects de prime abord, quant à eux, ou promptement domptés, mais surtout du malin plaisir qu’elle prend à mener ceux-ci vers l’abîme, au petit bonheur la chance qui plus est, que me vient mon profond dégoût pour elle car à l’omniprésente bassesse actuelle, elle ne se propose, en définitive, que de substituer un produit issu d’un flacon similaire, dont l’odeur est détestablement familière. Or, il ne faut être ni irénique ni distant de l’action pour poser que, vraiment, un autre monde est possible…

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* Quelle que soit la déclinaison de l’anarchisme envisagée, c’est tout sauf un anar’, pépère. Outre qu’il l’a lui-même concédé, qu’à Dieu ne plaise de lui confier le moindre levier de pouvoir : il en aurait tôt fait la démonstration…

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5-36 = 0

It’s all thanks to Colbert, you know…

A sudden anguish had already prompted me to do some research before, but I was happy I had found nothing. I couldn’t have imagined finding something. Not like that. Nobody’s that cruel…

Right before All Souls’ Day, I watched his show, had a sudden adrenalin rush, started digging again, just to make sure, but this time, the web highlighted a PDF file I must have overlooked earlier. It seemed inconclusive, though. At least, I wanted to persuade myself it was. I gave a few calls, wrote a few e-mails, and there it was nonetheless…

Only after I insisted did the clerk agree to print it out for me and grant me access to some database… I had clearly identified myself but at first she had told me there’s a new European privacy law or some bullshit of the kind preventing outcasts like me from finding out : do not disturb, even in the great beyond… Special credentials were needed and mine were visibly not enough without tears. After all, I’d only known that person for a few decades after my birth…

I took the damn piece of paper and there it was indeed : her tragic truth, retrievable online with an expiration date that happens to coincide with today… Isn’t it magical ?

I had been robbed, figuratively this time, and it felt a lot worse. Luckily, most of you will never realize what that is : being robbed of one’s grief ! So, I froze for an hour or two… I went outside where nobody could see me, sat down. It was raining. Softly. I looked down.

I had seen her one last time a few months before. With her, I have never raised my voice, not once. We had talked peacefully for about four hours. All things considered, she seemed okay, but I was told she was very unhappy before it happened. I don’t even know what happened exactly, since the evil ones erected a huge wall around her, manned with people they trust and neither she nor I knew.

If only I had taken advantage, if only I had been a tyrant, if only I had been willing to erase who I was, if only I had lied, cheated and tricked while keeping up appearances, I would at least have some sense of justice right now, I thought. But if it doesn’t kill you, this kind of bitterness turns you into a monster, you need only look around. Letting it go while somehow holding on to what matters in spite of the surreal atmosphere and all the shit swirling around is what you must manage to do.

Nevertheless, let’s face it : we descend from a self-obsessed generation whose propensity to eat their children in exchange for a few more sorry bacchanals is much higher than usual. Hence climate change…

They never knew war. We know peace. But, then again, we never have, have we ?…

https://objetsdefamille.wordpress.com/

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Transvoyance

la plénitude

l’ éther

un guide

un chemin

le mystère

l’art

la vie

le droit

C’est faire abus de l’esprit de justice que de travestir le droit par capitalisation de sa méconnaissance par l’autre.

C’est faire abus de l’éthique de l’homme que de l’enchaîner au droit.

 

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