Résumé des faits : le 19 juin 2023, tandis que la nouvelle du viol d’une « jeune femme de douze ans », juive qui plus est, survenu le 15, secoue l’actualité et les consciences françaises, un barbu zoophile (au sens platonique, ou plus largement philosophique, en ce que ni sagesse ni savoir ne se baise), non sans s’en indigner, commet néanmoins – à l’instar du procureur de la Cour pénale internationale, pourraient être tentés d’arguer d’aucuns, quoiqu’en l’occurrence par une disgracieuse équation dans l’innocence, qui fait inexplicablement fi du caractère « inassimilable » de l’une de ses déclinaisons – l’impardonnable impair de confondre le relatif et l’Absolu républicains, le temps jadis (février 2024 – s’en était-il ému alors ?) et le temps présent. Dont acte. La préfecture en a été avisée et l’étiquette « antisémite », qu’il a, ce faisant, dûment méritée, déjà mise en exergue par de vieux sages, lui collera désormais à jamais à la peau : « I still feel the chill | As I reveal my shame to you »…
S’ensuit toutefois une chasse à courre qui laisse l’intéressé pantois, tandis qu’à défaut de sa vie, son honneur est livré aux chien[ne]s », qui, sur les écrans sombres de X (« [Intellectual honesty] dies in darkness »…), savourent avec délectation leur coup bas. Toutes et tous, qui journaleuse (en attendant l’officialisation de « journalope » sous une prochaine législature potencielle), qui rabbine (Comme la féminisation, la prononciation est trompeuse…), qui panda chafouin, y vont de leur couplet moralisateur et digipointant : « Shame ! Shame ! », comme le proclame par ailleurs Saint-Serge, grand amateur de Curtis devant l’Eternel : « Take nothing less | Than the second best. […] Don’t worry… If there’s hell below »…
Si digne et rationnelle soit leur fronde, elle n’empêche pas, cependant, l’antisémite patenté, qui, résistant aux piqûres de diptères insupportablement bruyants comme d’autres à la présence de discrets « cloportes », a désormais la peau dure, de leur rendre coup pour coup…
Dans sa réponse au panda, il évoque ainsi une lobbyiste connue avec qui il avait eu maille à partir dans une vie antérieure. Ce serait elle, à l’en croire, qui aurait sonné le clairon… Mais pourquoi donc serait-il sa bête noire ? Charrierait-elle encore, hargneuse et rancunière, en un coin de son fourbe esprit, le souvenir de la médiatique déculottée qu’il lui avait naguère infligée ? On n’ose le croire… Son poutinisme larvé serait-il plutôt de la fausse égérie la cause de l’ire ? Allez savoir… Toujours est-il qu’elle prophétise sec, la bougresse, et cela, qui eût pu le prédire ?
Est-elle dans le secret des petits dieux imbéciles ? Mise-t-elle sur Bournazel, le vaincu sur le retour, qu’il pète le feu au premier tour ou que les voix dans les vestiges du « Nouveau Monde » égarées aillent dans un second temps, « Ordre nouveau » oblige, certes à son corps défendant, la flamme du M.S.I alimenter ?
Quoi qu’il en soit, le 17 juin 2024, soit deux jours avant que le zoophile ne commette son impardonnable forfait, elle a publié ceci sur sa chaîne YouTube :
Poutinolâtre ou non, l’antisémite était déjà dans son collimateur. Et dans celui de quelques autres, à l’extrême-centre du lobby. Serait nécessairement de mauvaise foi qui supputerait qu’y seraient pour quoi que ce soit la passion de l’Humanité et les plaidoyers enflammés pour la Vie dont s’est dernièrement rendu coupable le tribun…
Jusque dans l’enceinte de l’Assemblée nationale, où il a eu l’audace de projeter sa propagande, qui, dans la « patrie des Droits de l’Homme », réjouissons-nous en, « ne fait pas recette », là où le Camp de la Lumière – loué soit-il, pour les siècles des siècles – s’était contenté de projeter les faits, il semble que la névrose qui porte le zélote du Camp des Ténèbres à « relativiser » constamment l’Absolu ne connaisse aucune limite. Puissent Bournazel et sa flamme, en effet, en venir à bout !…
Gageons que le lobby, pour qui « l’armée la plus morale au monde » a toujours été symbole de Vertu, sinon source de fierté, se rangera désormais sans hésiter à l’avis de son porte-parole, et le proclamera avec hardiesse, clouant ainsi le bec du criminel contre l’Humanité dont il n’a jusqu’ici eu de cesse d’encenser la criminelle politique…
Yannick Baele 
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